Seul, il avait senti le besoin de venir au bord de cet étant qu’il connaissait. Cela lui faisait du bien, le calme et l’environnement lui apportaient beaucoup. Il se sentait bien désormais.
Seul, il avait senti le besoin de venir au bord de cet étant qu’il connaissait. Cela lui faisait du bien, le calme et l’environnement lui apportaient beaucoup. Il se sentait bien désormais.
IL y a, dans la forêt, beaucoup de beauté qu’il est difficile de voir. Il faut de la discrétion et de la douceur pour être admis au milieu de tous ceux qui l’habitent.
Ils profitaient tous de cette douce journée pour apprécier le lieu où ils étaient. De temps en temps, ne rien faire de précis était ce qu’ils s’accordaient et, il faut bien le reconnaître, cela ne dérangeait personne.
Ils étaient heureux lorsqu’ils se rendaient à la chaumière de grand-mère. Le chien et le chat étaient leurs amis ainsi que les oiseaux et, d’ailleurs, tous les animaux étaient, pour eux, des compagnons de bonheur.
C’est le deuxième jour du printemps, il fallait bien cela pour fêter son retour. Deux jours pour espérer enfin de la beauté dans la flore et de douces journées.
Nous l’attendions tous et, enfin, le voila, plus beau que jamais et apportant la beauté et la douceur. Peut-être, encore, quelques jours de fraîcheur mais, le plus difficile est passé.
Il partait pour un long voyage et, sur le bord de la rivière, la belle lui disait au revoir, sous les regards des jeunes femmes qui l’enviaient un peu.
Le petit village s’éveille et, déjà, les passants se croisent. Des promeneurs, une mère et son enfant qui font des courses, tous sont contents de cette belle journée qui s’annonce.
C’était, peut-être, la dernière neige qu’ils verraient. Du moins l’espéraient-ils. L’hiver avait été long, cette année, en Bretagne et, la venue des beaux jours était espérée avec impatience.
Ils s’étaient connus sur un air de violon qui guidait une valse et, depuis, leur vie continuait dans une romance sans fin.